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Cette recette se propage depuis quelques temps dans ma belle famille.
Ce qui en fait à mon avis le petit quelque chose en plus par rapport à d’autres moelleux au
chocolat est un apport personnel de Roger au protocole initial; ici, les jaunes d’œufs
ont totalement disparu, pour laisser place à l’essentiel: un gâteau avec «trop
de beurre, trop de chocolat, et pas assez cuit».
Certains me disent parfois : «Mais que faire des jaunes alors? on ne va
quand même pas les jeter?»
Eh bien… ce n’est pas une raison pour les ajouter à la recette,
sincèrement ils n’apportent rien, et même, à mon goût, ils sont de
trop. Voici quelques suggestions pour le pas les perdre:
- Une crème anglaise pour accompagner le gâteau, si vous pensez qu’il
ne se suffit pas à lui-même,
- Ou mieux, une crême glacée à la vanille,
- Des crêmes brûlées,
- D’autres entremets aux œufs (petites crèmes au chocolat, par exemple),
- De la crème pâtissière, que vous pouvez congeler en vue d’autres
préparations (Pithivier, viennoiseries, etc.),
- Une tarte au citron.
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